Nous voulons l'obtenir pour toujours et à la fois nous le craignons un peu.
Qu'en ferait t-on au quotidien ? Nous courons après lui comme nous courons après le graal.
Qui est-il ? Comment l'obtient-on ? Comment se produit-il ? Comment peut-on l' expliquer quand il nous arrive ? Peut-il grandir encore ? Peut-on le vivre pleinement sans honte ? Certains en on même fait un indice de satisfaction : le BNB...
Pour être heureux, admettons qu'il faille d'abord faire le bonheur des autres. En effet, c'est noble de vouloir rendre heureux les autres mais considérons que c'est impossible si nous ne le sommes pas d'abord nous-mêmes. Nous ne serions pas suffisamment forts.
Et si nous voulons que les choses changent pour nous, si nous voulons ce "satané" bonheur, il nous appartient de prendre les décisions qui s'imposent, d'entreprendre et d'agir sans attendre qu'on nous l'apporte sur un plateau. Le dîner risquerait d'être servi bien tard. Sartre ajouterait que "l'important n' est pas ce qu'on a fait de moi ; mais ce que je fais moi-même de ce qu'on a fait de moi". William Sheller voulait être cet homme heureux. "les gens qui s'aiment ont leur monde à eux" la la la la la la ...
In fine, comme le dirait une amie, catapultons nous vers le bonheur avec enthousiasme !